La semaine
dernière, lors du 13e Discussion board du secteur privé de l’Union africaine à Lusaka, en
Zambie, j’ai eu le plaisir de signer un protocole d’accord au nom de la
Fee de l’Union africaine avec Google pour commémorer notre engagement à
accélérer la transformation numérique dans les 55 pays membres. En tant que
premier accord de ce sort entre le Département du développement économique, du
commerce, du tourisme, de l’industrie et des minéraux de l’Union africaine et
une société américaine, nous espérons que ce nouveau partenariat nous
permettra d’ atteindre deux objectifs : premièrement, donner aux petites et
moyennes des entreprises de grande taille, et deuxièmement, établir des
politiques qui favorisent la croissance des entreprises pour le développement
du secteur privé dans toute l’Afrique.
Photograph du commissaire de l’UA Albert Muchanga et du directeur des affaires
gouvernementales et des politiques publiques de Google pour l’Afrique
subsaharienne, Charles Murito, signant un accord de collaboration
technologique en Afrique et l’entrepreneuriat est un moteur clé de la
croissance économique. À travers le continent, les petites et moyennes
entreprises (PME) peuvent représenter environ 80 % de la main-d’œuvre. Au
Nigeria et au Kenya par exemple, les PME contribuent à 84 % de tous les
emplois locaux et en
Afrique du Sud, les PME contribuent à 52 % du PIB du pays. En 2021, les startups ont levé
plus
de 4 milliards de {dollars}
et elles ont employé plus de la moitié des développeurs de logiciels
africains. En termes simples, ces startups et PME sont l’épine dorsale des
économies africaines. Ils résolvent certains des défis les plus urgents de
l’Afrique, notamment l’incapacité des communautés isolées à accéder aux soins
de santé, le manque de views d’emploi pour les femmes et la capacité
d’envoyer et de recevoir de l’argent en toute sécurité. Ces entrepreneurs et
startups ont le potentiel d’étendre l’économie Web africaine à
180 milliards
en ouvrant des opportunités pour atteindre de nouveaux shoppers by way of le commerce
électronique avec un meilleur accès à la technologie et à la formation
numérique.
La semaine dernière, lors du Discussion board du secteur
privé de l’UA, des responsables gouvernementaux, des specialists de la société
civile et des représentants du secteur privé se sont concentrés sur la mise en
place de moyens significatifs pour soutenir les jeunes, étant donné que
l’Afrique possède la main-d’œuvre la plus jeune, la plus dynamique et la plus
urbanisée au monde. L’Afrique abritera un tiers des jeunes du monde (âgés de
15 à 35 ans) d’ici 2050. L’avenir de la main-d’œuvre mondiale viendra
clairement d’Afrique, et nous sommes heureux que notre collaboration avec
Google nous permette de mieux les accompagner.
Les jeunes
entrepreneurs et les entreprises dirigées par des femmes ont reçu une classe
de maître sur la manière de présenter efficacement leurs ideas commerciaux
créatifs afin d’obtenir des investissements. Un concours de lancement de
startups pour découvrir la prochaine licorne africaine (une entreprise évaluée
à 1 milliard de {dollars}) a également été organisé.
Photograph des members de PME dirigées par des jeunes et des femmes à la
Masterclass de Google.
Au-delà du Discussion board, la collaboration avec Google permettra
aux startups et aux petites et moyennes entreprises dirigées par des jeunes à
travers l’Afrique d’identifier de nouveaux marchés,
de mettre leurs entreprises en ligne, d’accéder à des opportunités de financement et de présenter leur réussite
grâce à des programmes tels que
Hustle Academy
et
le programme d’accélération Google Pour Startups.
En 2017, Google a lancé son initiative Develop with Google
avec l’engagement de former 10 tens of millions de jeunes Africains et de petites
entreprises aux compétences numériques. À ce jour, Google a formé plus de 6
tens of millions de personnes dans 25 pays africains, et plus de 60 % des members
ont ainsi vu leur carrière et/ou leur activité progresser. Notre espoir est
que cette collaboration avec l’Union africaine contribuera à étendre la portée
de ces programmes aux 55 États membres.
D’un level de vue
politique, une collaboration solide entre les secteurs privé et public est
essentielle pour garantir la prospérité, non seulement dans nos pays d’origine
et régions, mais sur le marché mondial. C’est pourquoi nous collaborons
également avec Google pour élaborer des politiques, telles que la législation
nationale sur les startups et les PME, afin de créer un environnement
réglementaire qui soutiendra la croissance économique en transformant les pays
africains en
Sprinteurs Numériques
et fera progresser les aspirations de l’Agenda 2063 pour créer l’Afrique que
nous voulons.
H.E Albert Muchanga, African Union Commissioner, Financial Improvement,
Commerce, Tourism, Trade and Minerals